Tarragone a une municipalité longue, avec beaucoup de kilomètres de plage, avec des forêts et des zones naturelles, quelques protégées, et une petite constellation de peuples et noyaux avec prononcée personnalité.
Sans aller très loin, avec transport urbain ou à pied, Tarragone a toute la variété imaginable de plages. Quelques d’entre elles, larges et avec des zones sportives, comme la Llarga ou l’Arrabassada. Autres, urbaines, à un pas de maison, comme le Commandement ou le Miracle. Il y en a populaires, mais non excessivement massifiées, comme la Savinosa, la dels Capellans, ou celles de Tamarit et la Mûre.
Mais y les a aussi requeues, comme la de Cossis, à côté de la Pointe du Miracle, et paradisiaques, et nudistes. Près des Scipiones, dans l’espace protégé du Bois de la Marquis, passant par chemins que parcourent entre des pins, nous arrivons aux plages de Calabecs (ou Roca Plana, ou l’Arbocar : que de noms ne manquent pas) et Cala Fonda, plus connue avec le nom, de résonances hawaïennes, de Waikiki.
Un cimetière britannique
Sur la route qui encadre la côte il y a l’un des espaces les plus insolites de la ville. La porte en fer fermée du Cimetière l’Anglais, aussi connu au surnom de Fossar dels Jans, cache à la curiosité le lieu -plus propre de la côte de la Cornouailles, par exemple- où on enterrait les marins de bateaux étrangers et d’autres personnes non catholiques.
Photos sous licence de Creative Commons sauf si on indique le contraire. Image remarquable. Photo 1. Jorge Franganillo Photo 2. KΛ13 Photo 3. Jorge Franganillo Photo 4. www.tarracowiki.cat
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